Donnant suite à l’enquête que nous avons récemment envoyée à nos utilisateurs seniors, nous avons contacté un de nos Withingers qui a accepté de partager son expérience. André est un grand-père connecté de 75 ans vivant au nord-est de la France. Loin d’être intimidé par la technologie, il utilise plusieurs produits Withings au quotidien pour suivre sa santé. Voici son témoignage.
Vous avez d’abord acheté une balance Withings n’est-ce pas ?
J’ai commencé avec la balance. J’étais à la FNAC, et puis j’ai vu cet appareil là… Je l’ai acheté et j’ai vu que ça fonctionnait bien.
Qu’est-ce qui vous a poussé à l’acheter ?
Le problème quand on commence à contrôler son poids à l’aide d’une balance, c’est qu’il faut noter son poids tous les jours. Le principal avantage des Balances Withings c’est de ne plus avoir cette contrainte fastidieuse.
Vous vous êtes ensuite procuré un deuxième produit Withings ?
Oui. Début 2012 nous avons appris que nous avions quelques problèmes de santé dans la famille. J’ai acheté le Tensiomètre car il pouvait se réveler utile. Le Tensiomètre nous a permis de partager régulièrement nos mesures de tension et de pouls avec notre docteur. Notre médecin généraliste a d’ailleurs été un peu bluffé !
C’est un médecin qui vous a recommandé l’utilisation d’un tensiomètre ?
Mon épouse et moi, nous avons quelques petits problèmes d’arythmie. C’est pourquoi nous devons prendre notre tension régulièrement. Au début nous avons acheté un brassard tensiomètre électrique classique.
J’ai de bons rapports avec notre médecin généraliste que je vois pour le suivi de mon cœur. Il y a également mon cardiologue que je vois une fois par an – il m’a d’ailleurs fait passer un test d’effort la semaine dernière… Les médecins veulent garder la main. Ils restent un peu sur la réserve. Ça va s’imposer malgré tout, mais ça va prendre du temps. Ils vont devoir composer avec les objets connectés.
Dans quel cadre avez-vous utilisé votre Tensiomètre ?
J’ai aujourd’hui 75 ans et ça fait 6-7 ans qu’on a découvert que je suis hypertendu. Les médecins ont essayé plusieurs médicaments, et depuis 3 ans je prends le même. Le Tensiomètre me permet de vérifier que je conserve une tension saine, sans jamais avoir à noter quoi que ce soit. Ça a l’air d’un détail comme ça, mais c’est capital ! Je me vois mal sortir mon carnet et noter ma tension. Là c’est l’histoire de quelques secondes.
Et que pensez-vous du Withings Pulse, notre traqueur d’activité ?
Je l’ai depuis quelques mois… Bien sûr, il y a des gens qui vont dire que la distance parcourue que le Pulse mesure n’est pas très précise. Mais il est très bon pour dire combien de pas nous avons fait. C’est quand même important ! Et un petit exemple qui l’illustre, c’est l’histoire des marches. Quand j’ai le choix entre des marches et un ascenseur, je prends toujours les escaliers. Et là on s’aperçoit du côté « comptable » du Pulse : il compte aussi l’élévation!
Qu’est-ce qui vous a poussé à acheter un Pulse ? Pourquoi le Pulse plutôt qu’un autre traqueur d’activité ?
Je suis passé devant un présentoir avec tous les différents traqueurs… J’ai vu les bracelets…. C’est la forme du Pulse qui m’a fait le choisir. Moi je ne voulais pas de bracelet – ça me fait penser aux bracelets brésiliens ! Là c’est la forme, le poids léger et l’encombrement minimal du Pulse qui m’ont attirés. Et puis j’avais déjà lu quelques articles.
Une fois le Pulse en poche, est-ce que vous avez réalisé des choses concernant votre niveau d’activité ? Avez-vous constaté que vous ne faisiez pas assez de pas par exemple ?
Le Pulse m’a permis de quantifier. Retrospectivement il me permet de faire le lien entre une journée donnée, avec ses activités particulières, et un nombre de pas correspondant. On se rend alors compte de l’impact qu’un choix peut avoir : « Si je passe par là ça me fait 2000 pas en plus et j’arrive à 10000 pas ». C’est bien ! Le Pulse me conforte dans l’idée que je me fais de ma journée en termes d’activité.
Et suivez-vous votre sommeil avec le Pulse ?
Oui, je l’utilise systématiquement ! Je m’aperçois que je tourne autour de 3 heures de sommeil profond, et 3-4 heures de sommeil léger. Et si vous vous êtes bien dépensé… Si vous avez dépassé les 10000 pas par exemple, en général on dort plus que d’habitude.
Est-ce qu’il vous arrive d’utiliser le Pulse pour prendre votre pouls au cours de la journée quand vous n’avez pas votre Tensiomètre sous la main ?
Oui, ça m’arrive. Je porte mon Pulse à la ceinture, et si j’ai envie de faire une synchro, je le retire et dans la foulée j’en profite pour mesurer mon pouls. Il ne dépasse pas 60 battements par minute, car mon médicament est toujours actif.
Quel regard portez-vous maintenant sur la santé connectée et l’auto-suivi ?
Sans tomber dans l’hypocondrie, il faut reconnaître que ce sont des outils pratiques. On ne connaissait pas ça il y a deux ans… Il faut du temps pour que tout le monde s’y habitue.
Et que pensez-vous de l’application Compagnon Santé ?
J’aime sa simplicité. Elle se charge vite et est tout de suite fonctionnelle. C’est un aspect qui compte. Aujourd’hui, utiliser cette application mobile est devenu complètement naturel pour moi, mais il y a 2 ans il faut reconnaître que j’ai vraiment été bluffé de voir à quel point ça marche bien.
Comment décririez-vous la marque Withings en 3 adjectifs?
Design, connectivité et fiabilité. C’est important le design. Sur le Tensiomètre par exemple, le tube métallique est beau mais il est aussi utile : il facilite la prise en main de l’objet, il permet de bien placer le brassard sur le bras. Donc le design rejoint la fonctionnalité. Ça a visiblement été bien étudié.
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