Plusieurs études Withings ont déjà démontré que l’on dort habituellement un peu plus au Nord de l’Europe qu’au Sud. En revanche, les habitants de tous ces pays – quelles que soient leurs différences – ont en commun le fait de suivre avec attention l’Euro 2016 de football, avec toutes les conséquences que cela peut avoir sur leur sommeil. Surtout dans la dernière ligne droite.
La phase de poules : plutôt un tour de chauffe…
En comparant les données de sommeil des utilisateurs Withings entre la première semaine de compétition et la dernière semaine avant l’Euro, il ressort que la plupart des européens sont pour l’instant parvenus à mener passion et sommeil de front. La plupart des européens, à l’exception d’un pays en particulier : la Slovaquie.
Ce pays d’Europe Centrale et ses 5 millions d’âmes semblent vibrer jour et nuit grâce à leur sélection nationale, qui enchaîne les bonnes performances sur la scène continentale. Pendant la première semaine de compétition, les Slovaques ont dormi en moyenne 50 minutes de moins, par nuit, que d’habitude ! Nul doute que la qualification de ce pays pour les huitièmes de finale, pour sa première participation à l’Euro, saura galvaniser ses supporters. Les prochaines nuits slovaques s’annoncent courtes !
La phase finale : bonjour les cernes !
En 2014, au soir de la victoire de leur équipe nationale au mondial brésilien, les Allemands se sont ainsi couchés en moyenne une heure plus tard qu’à l’accoutumée. Ce qui ne les a pas empêchés de se lever le lendemain à la même heure que d’habitude ! Au final, ils auront dormi moins de 6 heures en cette nuit de fête.
L’an dernier, les Nord-Américains ont sérieusement chamboulé leur rituel du soir à l’occasion d’une des finales Super Bowl les plus palpitantes de l’histoire. C’était un dimanche soir, et les habitants de villes comme New York ou encore Washington se sont couchés près de 40 minutes plus tard que d’habitude.
Des matchs couperets, de l’adrénaline et, espérons-le, beaucoup d’explosions de joie. Voilà ce qui maintiendra vraiment les européens éveillés lors des soirées à venir, et les trackers d’activité et de sommeil Withings en seront à coup sûr les premiers témoins.
Et vous, comment vivez-vous ces rencontres à élimination directe ? Allez-vous célébrer les victoires de votre équipe jusqu’au bout de la nuit ou êtes-vous plutôt du genre à vous coucher avec le sentiment du travail accompli ? Partagez votre expérience Euro dans les commentaires.
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