Spartan Race : plus fort avec Steel HR Sport

3 octobre 2018

Vous vous souvenez peut-être de notre équipe de choc au Mud Day 2016 : des têtes brûlées prêtes à tout pour profiter des vertus hydratantes des masques de boue — et accessoirement, se dépenser et se dépasser à l’occasion d’un événement mémorable. Eh bien, la Spartan Race, c’est exactement pareil, mais en pire. Et bien sûr, on a remis ça.

Je dis « on », c’est un abus de langage : votre serviteur ne fera que raconter l’expérience de quatre de ses collègues. Sandra, Marc, Yoni et Vincent ont vécu leur première Spartan, accompagnés de Steel HR Sport. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que la journée a été mouvementée.
“J’avais déjà participé au Mud Day et à la Parisienne”, explique Sandra, développeuse Android. “La Spartan, c’était l’étape au-dessus. Quand Yoni nous a demandé d’y participer, j’ai dit oui sans réfléchir.” Non pas qu’il s’agisse d’une mauvaise décision : “Je ne regrette pas du tout, mais c’est clair que si j’avais su, je me serais un peu mieux préparée ! (rires). Mais s’inscrire à une course, c’est la seule manière pour moi de me forcer à pratiquer une activité sportive. Ça me donne un objectif, et je m’entraîne en fonction. Ce n’est pas assez motivant de courir pour courir.”
Un avis partagé par Vincent, également développeur Android. “Quand je me suis retrouvé au début de la course, je me suis demandé pourquoi je m’étais inscrit ! (rires). C’était un moment intense, mais je suis content d’avoir pu en venir à bout. D’ailleurs, je prévois de participer à la Spartan de l’an prochain.”

Ce que disent les chiffres

Tout comme le Mud Day, la Spartan a son lot de terre battue et de boue, que les participants ne manquent pas de s’appliquer généreusement à chaque occasion. Problème : les diodes de la Steel HR Sport ont du mal à passer à travers la boue, et les relevés de fréquence cardiaque sont donc peu fiables dans ce contexte précis. Qu’à cela ne tienne — nous avons la durée de la session de Sandra, sa distance parcourue, et le nombre de calories qu’elle a dépensées.

Et les chiffres sont sans appel : plus de 1800 calories brûlées, près de 3 heures d’exercice, et environ 10 kilomètres parcourus ! Une performance exceptionnelle, que Sandra attribue entre autres à son équipement : “Il faut vraiment éviter de venir en short et t-shirt. Il y a des passages où il faut ramper sur des cailloux, il y a de l’eau, etc… C’est très important d’être protégé contre le froid, et d’éviter les risques de blessure.”
Certains obstacles peuvent paraître infranchissables. “Normalement, quand tu ne te sens pas capable de passer une étape, les organisateurs te font faire des pompes ou autre chose pour compenser”, précise Vincent. “Mais tu peux essayer de te faufiler pour éviter ça (rires). — C’est comme l’entraide, ajoute Sandra, on te met dans un contexte un peu militaire, chacun pour soi, mais en fait tout le monde s’aide pour avancer. C’est vraiment une belle expérience.”

Voilà de quoi inspirer chacun d’entre nous à se dépasser un peu plus. Mais rappelez-vous : tout a un début ! Si vous commencez à être plus actif ou active, procédez par étapes, ménagez-vous, et visez l’amélioration sur le long terme. Steel HR Sport et son indice de forme cardio vous permettent d’ailleurs de constater votre évolution de manière très simple. Merci à notre délégation, et à l’année prochaine pour de nouveaux défis !